✅ Alstom, Macron, Pécresse, les USA et Rothschild : une affaire tentaculaire.
🟨 Le cas Alstom, déjà largement documenté et de façon remarquable par d'autres que nous (liens dans les sources) met en lumière un scandale international à au moins trois dimensions : industriel, financier, politique. Mais les Présidentielles 2022 achèvent de lever totalement le voile sur le pan politique de ce dossier, remettant en perspective un peu plus encore certaines manœuvres politiciennes.
Apres un long travail de documentation, de lectures et de visionnage, nous nous sommes posés la question de notre valeur ajoutée dans cette affaire. Nous allons donc tenter de vous exposer sommairement la totalité du spectre de ce scandale tentaculaire car, in fine, du Département américain de la Justice à Valérie Pécresse en passant par Macron et Rothschild, tout est lié. Comprenez pourquoi, et comment.
Résumé des faits :
✅ 1 / Le Département de la Justice US (Département of Justice -"DoJ") use de manière systémique d'un procédé de racket infaillible (et légal du point de vue américain) en espionnant des fleurons industriels étrangers pour les fragiliser financièrement afin de pourvoir les faire fusionner/racheter à peu de frais par des concurrents américains directs.
🟨 2 / Macron a trahi Alstom et les intérêts français au moins deux fois : en 2012 et en 2014.
a) Devant la commission d'enquête française qui s'est penchée sur les conditions de la cession d'Alstom aux américains, Macron jurait que l'Etat français était placé devant le fait accompli quand il avait récupéré le dossier en remplaçant Montebourg en 2014 et qu'il n'avait d'autre choix que de valider la vente. C'est factuellement faux.
b) Macron travaillait dans les coulisses de l'Elysée depuis 2012 à la vente d'Alstom, d'un bloc ou par secteurs, et a saboté le travail de Montebourg en 2014 pour empêcher la vente à General Electric. Deal qui profitera financièrement à hauteur de 12 millions d'euros à la banque d'affaires Rothschild, impliquée dans la transaction, et dont Macron fut associé jusqu'en... 2012.
🟥 3 / Le couple Pécresse est impliqué :
a) Jérôme Pécresse, bras droit du PDG d'Alstom à l'époque est l'unique cadre français resté en poste au sein du Directoire du groupe quand tous ses collègues étaient remplacés par des américains de la General Electric (GE). Il était en poste quand a été entériné le licenciement de 800 personnes en Ile de France alors que "GE" promettait 1000 embauches dans le cadre du deal.
b) Macron [Ministre de l'Economie] et Jérôme Pécresse ont tenu ce plan de dégraissage sous silence du fait des élections régionales à venir, élections remportées par Valérie Pécresse en Ile de France. Mandat dont la campagne présidentielle de cette dernière repose précisément sur son bilan à la tête de cette région.
c) Ce pourquoi Valérie Pécresse est "Macron-compatible" au delà de toute expression, et est envisagée par le Président sortant pour devenir sa 1ere Ministre en cas de victoire.
Prenons le temps de quelques explications, point par point.
✅ (1) Retour sur le rôle des américains et de leur Département de la Justice (Département of Justice -"DoJ"). Alcatel et Alstom sont deux illustrations récentes et parfaites du procédé utilisé. Une loi américaine à la portée extraterritoriale donne le droit aux USA d'enquêter sur n'importe quelle entreprise au Monde, où qu'elle soit, si tant est qu'elle soit soupçonnée de corruption par les Etats Unis et que ces derniers soient concernés d'une manière ou d'une autre dans le quotidien de l'entreprise en question (un serveur informatique hébergeant des données, un salarié américain présent dans les effectifs de l'entreprise en question, etc).
Or, les dessous de table, les pots-de-vin, la corruption pour le dire très clairement, sont le mode de fonctionnement pratico-pratique de la quasi-totalité de toutes les entreprises au Monde, de la nuit des temps à ce jour. La loi américaine est donc sous couvert de moralité d'une hypocrise folle, et est un outil juridique d'une "intelligence" certaine, d'une efficacité redoutable.
Clairement, dans le cas d'Alcatel, il a suffit de trouver un cas de corruption quelconque pour enclencher la machine judiciaire. Alcatel, devant sa mise en accusation et la menace d'une amende colossale, a accepter de "collaborer", en ouvrant ses portes et dossiers confidentiels à un "observateur" mandaté par le "DoJ", ayant accès à tout le fonctionnement de l'entreprise. Toutes les données stratégiques et financières d'Alcatel ont été transmises aux américains, dans une démarche d'espionnage industriel "légal" et permettant d'identifier clairement les points faibles du groupe, avant de lui imposer une fusion totalement à son désavantage, pour échapper à son amende, à sa dévaluation boursière et à sa perte pure et simple.
Et pour Alstom ? Exactement le même procédé, et les faits démontrent alors que cette façon de faire n'est en rien un coup opportuniste, mais bien un processus systémique. A la différence prêt qu'Alstom a refusé de collaborer avec les autorités américaines comme avait décidé de le faire Alcatel. Concrètement, qu'ont fait les américains ? Ils ont intercepté Frederic Pierucci, cadre important du groupe français à sa descente d'avion à New York, pour lui demander d'espionner son employeur à leur compte. Ce dernier décline l'offre, et est aussitôt enfermé pendant 25 mois dans une prison de haute sécurité avec des détenus de droits communs (viols, meurtres, etc).
Impressionnés par les conditions de cette arrestation subite, les dirigeants d'Alstom paniquent. Le PDG du groupe, Patrick Kron prend le taureau américain par les cornes pour éviter une dévaluation boursière catastrophique, une amende pharaonique et des arrestations à la pelle : il négocie directement, et rapidement, avec ses nouveaux partenaires américains, au mépris de la loi française qui exige des appels d'offres, et ne tenant aucun compte de l'activité de son entreprise, partenaire privilégié de l'Etat français, venu financièrement à son secours dis ans plus tôt.
GE s'engage à payer l'amende infligée par la justice américaine à la place d'Alstom, et en deux mois à peine le deal est conclu dans le dos du Gouvernement français, jusqu'à ce que Montebourg, et il faut lui rendre justice sur ce coup là, comprenne ce qui est en train de se jouer dans les coulisses. Il convoque en urgence Patrick Kron et tente l'impossible pour trouver des alternatives à la menace de disparition du groupe au profit des américains en essayant de privilégier des solutions françaises ou européennes. Coup de maitre, le décret officiel de Montebourg donnant à l'Etat français la possibilité de s'opposer à la vente d'Alstom en dépit des manœuvres américaines. Et c'est là que Macron entre en piste.
🟨 (2) Depuis 2012, Macron fraichement sorti de son statut de banquier-associé chez Rothschild et devenu Conseiller à l'Elysée dans la foulée, travaille discrètement à la vente d'Alstom, alors une des plus prestigieuses entreprises françaises. Il a officiellement fait appel à un cabinet conseil pour étudier la faisabilité et les modalités de la chose.
Quand en 2014, Arnaud Montebourg sort son décret pour faire capoter le deal Alstom-GE, Macron s'y oppose frontalement et milite activement pour une vente aux américains. C'est, contre l'avis et les efforts du Ministre, la position de Macron qui sera retenue. Montebourg démissionne, Macron le remplace. Macron valide la vente pour un peu plus de 12 milliards, et dans la transaction, Rothschild empoche un cheque de 12 millions d'euros pour avoir contribué au deal autorisé par Macron.
Macron avait donc bien le choix -et la possibilité- de bloquer la vente d'Alstom à General Electric. Nous posons la question : la volonté bornée de Macron de vendre Alstom aux américains avait-elle un lien avec l'implication de la banque d'affaires Rothschild dans la transaction, banque dont il était associé encore deux ans auparavant ? Y'a t'il eu de fait rétrocommission ou remerciement d'une façon ou d'une autre ?
Macron a prétendu que le deal conclu avec les américains était le meilleur possible dans l'intérêt d'Alstom et de l'Etat français : GE a aussitôt supprimé 800 emplois en France au lieu d'en créer 1000, et a finalement laissé Alstom payer lui-même son amende à la Justice américaine. Puis, GE a décidé de revendre Alstom au détail. Ce faisant; Macron devenu Président de la République voit la France racheter à GE une filière d'Alstom pour le double de ce qu'elle lui avait cédée. Une gestion transparente en bon père de famille depuis la fenêtre Macroniste, un fiasco épouvantable pour ne pas dire une trahison absolue depuis le constat objectif que n'importe qui d'un peu censé pourrait-en faire.
Le saviez-vous ? Hugh Bailey, directeur des affaires publiques de GE France et ancien conseiller du Ministre de l'Économie Emmanuel Macron, devient en directeur général de General Electric France.
Mais ce n'est pas fini pour la trahison...
🟥 (3) Valérie Pécresse et Emmanuel Macron, à la tête de l'Etat, seraient absolument interchangeables. Issus du même sérail mondialiste et européiste, lauréats des mêmes arcanes idéologiques du Forum de Davos, sous l'adoubement de Klaus Schwab qui voyait dans le Covid une formidable fenêtre d'opportunité, ces deux-là pratiqueraient exactement la même politique, celle de l'Union Européenne, dictée chaque année à la France par ses technocrates non-élus et sous l'impulsion de puissants lobbyistes.
Ce "couple" présidentiel qui aurait même vocation à gouverner la France main dans la main, l'une 1er Ministre de l'autre, réélu grassement par une minorité de votants dans un océan d'abstention, n'en est pas à son coup d'essai en matière de magouille politicienne sur le dos des français.
Macron-Ministre conclu un accord "secret" avec Jérôme Pécresse, haut-dirigeant d'Alstom et unique cadre français épargné par la purge de General Electric à la tête du groupe, pour ne pas ébruiter l'annonce d'un plan de licenciement avant que ne se soient déroulées les élections régionales auxquelles Valérie Pécresse était candidate.
A quel titre Jérôme Pécresse a-t-il été le seul sauvé des eaux par General Electric à la tête d'Alstom ? Pourquoi lui, dont l'épouse est alors une femme politique en campagne dans une élection française "locale" ? Était-il le plus compétent du groupe ? Le plus compétent pour mettre en œuvre 800 licenciements et tenir la chose secrète avec le concours d'Emmanuel Macron le temps que sa femme gagne les élections ? Valérie Pécresse et Emmanuel Macron, tous deux intronisés, hasard du calendrier, en respectivement 2013 et 2014 dans le très select club discret Bilderberg, dont Klaus Schwab et Edmond de Rotschild furent membres du Comité de Direction en leur temps ?
✅ Quelles conclusions en tirer ?
Les USA ne sont pas nos alliés. Contrairement à la France ils n'œuvrent que pour leurs intérêts. Pour cela, tous les moyens sont bons, y compris l'hypocrise la plus absolue et le cynisme le plus profond. Et cela s'applique à leur industrie, leurs finances, leur stratégie géopolitique.
Emmanuel Macron est ouvertement un menteur et un traitre à la Nation, un adepte des petits arrangements entre amis, de tous bords. Il est en campagne pour sa réélection, Pécresse sur les rangs pour briguer le mandat, et nous laisserions faire ? A nouveau ?
Les politiques actuellement au pouvoir sont prêts à toutes les bassesses et tous les mensonges pour servir leurs intérêts personnels, y compris sur le dos de la misère sociale et de la précarité la plus injuste.
Le cas Alstom est révélateur du niveau de corruption au plus haut de l'Etat et de notre soumission forcée ou convenue au grand frère américain. Nous n'avons plus rien de souverain, tant que des mondialistes nous gouvernement. Macron et Pécresse sont suffisamment impliqués dans ce dossier pour être redevables aux yeux de la Justice française, il est donc primordial de les rendre disponibles définitivement pour répondre de leurs actes.
Nous avons tenté de rendre ce dossier le plus synthétique possible, en espérant que les tenants et aboutissants soient désormais connus et clairs pour le plus grand nombre d'entre vous. Travailler sur le sujet a été long et particulièrement intéressant, nous espérons que cela sera aussi instructif à vos yeux. Alstom n'est pas qu'un scandale industriel : c'est un acte de haute trahison gravissime de la part de Macron au regard de l'activité d'Alstom et de sa position dans l'industrie française, surtout en cette période de campagne électorale. C'est également la preuve factuelle que les USA constituent un Etat voyou aux méthodes mafieuses. Il est primordial que nous en prenions conscience. Macron sert les intérêts d'entités hostiles au bien commun de nos concitoyens.
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